26/11/2011 29/12/2011
27/10/2011
Une personne clé dans le développement de l'industrie minière du Cambodge affirme l'or et la production de cuivre est probablement environ cinq ans d'absence au Cambodge et en mettra d'importants revenus dans les poches du Cambodge et les coffres du gouvernement, dont certains qu'il espère être utilisés pour l'éducation et le développement social. " Dans les cinq ans, vous aurez plus de chances voir la production. La première serait très probablement l'or et le cuivre, ils sont souvent associés ", a déclaré l'Australien Richard Stanger, 53 ans, le président fondateur de CAMEC, le Cambodge Association pour les sociétés minières et d'exploration. CAMEC a deux sociétés d'exploration minière en tant que membres des mines ainsi la société de services. Stanger est directeur général de Liberty International Mining Pty Ltd, qui possède un certain nombre de projets d'exploration en cours au Cambodge:. dans la province de Ratanakiri, province de Mondulkiri et de Banteay Meanchey et Ouddar Meanchey Stanger, qui le premier a visité le Cambodge en 2004, est une force majeure dans le développement non seulement d'une industrie minière au Cambodge, mais aussi par CAMEC un nombre d'initiatives, y compris, avec le PNUD à la réouverture d'une école de géosciences de former les Cambodgiens pour des travaux dans l'industrie minière. «Nous avons travaillé à CAMEC avec le PNUD sur le développement du curriculum pour l'École de géosciences. "Mining obtient non seulement de l'argent dans les poches du gouvernement, mais aussi dans les poches du peuple à travers la chaîne d'approvisionnement. Le gouvernement va percevoir des redevances, impôt sur le revenu et tous les autres frais, la rente foncière et d'autres compagnies minières ont des choses à payer. Cet argent finira dans consolidé du revenu et j'espère être consacré à l'infrastructure, l'éducation et les soins de santé qui sont des priorités du Cambodge ", a déclaré Stanger.
11 Octobre, 2011 -La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) allait commencer d'ici la fin de ce mois de son pétrole et de gaz dans l'exploration du Cambodge au large de l ', près de 40 kilomètres au sud des côtes de Sihanoukville. Selon le Etude d'Impact Environnemental (EIE) de l 'rapport, la CNOOC pourrait commencer le forage d'un puits pétrolier dans le bloc F entre Octobre et Décembre 2011, M. Mam Sambath, président de la Cambodgiens pour la transparence des recettes des ressources (EERC) a déclaré aux médias hier. C'est le première entreprise qui a étudié l' environnement d'impact avant son exploration, a déclaré M. Mam Sambath, en appréciant la procédure, ce qui est conforme aux normes régionales et internationales de l'exploration des mines. Cambodge espère obtenir la première goutte de pétrole produit à la
Une extraction à partir du documentaire "Où sont les poissons Gone? Tuer le barrage du Mékong par le barrage" montre un barrage massif en cours de construction sur un tronçon de la rivière du Mékong en Chine.
"Nous devons prendre en compte l'impact de chaque barrage, car si un barrage est autorisé à être construit, il conduira à des évolutions de tous les autres barrages."
Comme du Sud fait face l'Asie avec certains des pires inondations depuis des décennies, il ya aussi des inquiétudes sur l'impact environnemental d'une série de nouveaux barrages hydroélectriques actuellement en construction. Un barrage, en particulier au Laos a attiré l'attention en raison de son impact sur des millions de personnes vivant dans le bassin du Mékong. proposée par le gouvernement du Laos barrage Xayaburi, situé dans les régions montagneuses du nord du Laos, est juste l'un des 11 barrages prévus pour le cours inférieur du Mékong . Carl Middleton, conférencier à Bangkok Université Chulalongkorn, estime stratégiques rapports d'évaluation environnementale (SEA) avertissent le barrage aurait un impact sérieux. "Le projet devrait également entraîner des changements majeurs pour les systèmes d'éco-du Mékong", at-il dit. Il serait largement bloquer les migrations de poissons, y compris la route de migration pour certaines des espèces les plus incroyables du monde y compris le poisson-chat géant du Mékong. Ainsi, le SEA estime que jusqu'à 41 espèces de poissons pourraient être en danger d'extinction. " Le projet de 3,5 milliards de dollars serait la première à être construite sur courant du Mékong en dehors de Chine et de générer 1260 mégawatts d'électricité, quelque 95 pour cent qui devrait être acheté par la Thaïlande. Mais les responsables vietnamiens et cambodgiens ont rejoint les écologistes en critiquant Xayaburi, affirmant qu'il pourrait gravement nuire aux stocks de poissons qui sont une source vitale de protéines à quelque 40 millions de personnes. Ils avertissent le barrage affectera directement plus de 200.000 personnes qui dépendent de l'écologie de la rivière ainsi que des millions de personnes vivant en aval dépendent du système fluvial. Malgré les inquiétudes, les responsables laotiens sont encore pression pour la construction. Le Vientiane basée sur la Commission du Mékong (MRC) a la responsabilité de l'approbation finale pour la construction après la détermination de l'impact environnemental et écologique du barrage. La Commission, avec les représentants du Cambodge, du Laos, la Thaïlande et le Vietnam, on s'attend à livrer ses verdict sur le projet lors d'une réunion en Novembre. Srisuwan Kuankachorn, un co-directeur avec le groupe de l'environnement, vers le rétablissement écologique et de l'Alliance régionale (TERRA), déclare la réunion Novembre pourrait conduire à un impact profond sur la politique de la région. "Nous devons prendre en compte l'impact de chaque barrage, car si un barrage est autorisé à être construit, il conduira à des évolutions de tous les autres barrages ", at-il dit. Nous devons donc en tenir compte afin que nous puissions être en mesure de réaliser que la réunion en Novembre n'est pas une réunion technique, car ce n'est pas une décision technique, c'est une décision politique qui va remodeler la politique dans cette région particulière du monde, région très petite région, mais très problématique - je dirais ". représentants du gouvernement vietnamien dire qu'il ya des inquiétudes sur l'impact sur la culture du riz région du delta. Ils ont appelé à un moratoire sur la construction jusqu'à ce que le plein impact de tous les barrages sont compris. Nguyen Huu Tien un agronome et spécialiste des zones humides de Can Tho, dans le delta du Mékong, les craintes des barrages représentent une menace majeure pour l'écologie de la région du Delta et de l'environnement . "Je pense personnellement que les menaces des barrages sont l'une des plus grandes menaces pour le delta du Mékong dans toute son histoire", at-il dit. Les pertes principales comprennent la perte de la charge sédimentaire et la perte de la pêche. " La région du delta produit la moitié la production alimentaire du Vietnam ainsi que 90 pour cent de ses exportations de riz. L'industrie de la pêche dans le delta est aussi un contributeur majeur à l'économie régionale et nationale.
Please join us at rallies for the 20th Anniversary of the 1991 Paris Peace Agreement on Cambodia:
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BtmanCati
pétrole,khmers vithyu,khmerssacallock le monde khmers.com 92.2fm http://radiolemondekhmers-toulouse.official.fm/
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27/10/2011
Une personne clé dans le développement de l'industrie minière du Cambodge affirme l'or et la production de cuivre est probablement environ cinq ans d'absence au Cambodge et en mettra d'importants revenus dans les poches du Cambodge et les coffres du gouvernement, dont certains qu'il espère être utilisés pour l'éducation et le développement social. " Dans les cinq ans, vous aurez plus de chances voir la production. La première serait très probablement l'or et le cuivre, ils sont souvent associés ", a déclaré l'Australien Richard Stanger, 53 ans, le président fondateur de CAMEC, le Cambodge Association pour les sociétés minières et d'exploration. CAMEC a deux sociétés d'exploration minière en tant que membres des mines ainsi la société de services. Stanger est directeur général de Liberty International Mining Pty Ltd, qui possède un certain nombre de projets d'exploration en cours au Cambodge:. dans la province de Ratanakiri, province de Mondulkiri et de Banteay Meanchey et Ouddar Meanchey Stanger, qui le premier a visité le Cambodge en 2004, est une force majeure dans le développement non seulement d'une industrie minière au Cambodge, mais aussi par CAMEC un nombre d'initiatives, y compris, avec le PNUD à la réouverture d'une école de géosciences de former les Cambodgiens pour des travaux dans l'industrie minière. «Nous avons travaillé à CAMEC avec le PNUD sur le développement du curriculum pour l'École de géosciences. "Mining obtient non seulement de l'argent dans les poches du gouvernement, mais aussi dans les poches du peuple à travers la chaîne d'approvisionnement. Le gouvernement va percevoir des redevances, impôt sur le revenu et tous les autres frais, la rente foncière et d'autres compagnies minières ont des choses à payer. Cet argent finira dans consolidé du revenu et j'espère être consacré à l'infrastructure, l'éducation et les soins de santé qui sont des priorités du Cambodge ", a déclaré Stanger.
11 Octobre, 2011 -La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) allait commencer d'ici la fin de ce mois de son pétrole et de gaz dans l'exploration du Cambodge au large de l ', près de 40 kilomètres au sud des côtes de Sihanoukville. Selon le Etude d'Impact Environnemental (EIE) de l 'rapport, la CNOOC pourrait commencer le forage d'un puits pétrolier dans le bloc F entre Octobre et Décembre 2011, M. Mam Sambath, président de la Cambodgiens pour la transparence des recettes des ressources (EERC) a déclaré aux médias hier. C'est le première entreprise qui a étudié l' environnement d'impact avant son exploration, a déclaré M. Mam Sambath, en appréciant la procédure, ce qui est conforme aux normes régionales et internationales de l'exploration des mines. Cambodge espère obtenir la première goutte de pétrole produit à la
Une extraction à partir du documentaire "Où sont les poissons Gone? Tuer le barrage du Mékong par le barrage" montre un barrage massif en cours de construction sur un tronçon de la rivière du Mékong en Chine.
"Nous devons prendre en compte l'impact de chaque barrage, car si un barrage est autorisé à être construit, il conduira à des évolutions de tous les autres barrages."
Comme du Sud fait face l'Asie avec certains des pires inondations depuis des décennies, il ya aussi des inquiétudes sur l'impact environnemental d'une série de nouveaux barrages hydroélectriques actuellement en construction. Un barrage, en particulier au Laos a attiré l'attention en raison de son impact sur des millions de personnes vivant dans le bassin du Mékong. proposée par le gouvernement du Laos barrage Xayaburi, situé dans les régions montagneuses du nord du Laos, est juste l'un des 11 barrages prévus pour le cours inférieur du Mékong . Carl Middleton, conférencier à Bangkok Université Chulalongkorn, estime stratégiques rapports d'évaluation environnementale (SEA) avertissent le barrage aurait un impact sérieux. "Le projet devrait également entraîner des changements majeurs pour les systèmes d'éco-du Mékong", at-il dit. Il serait largement bloquer les migrations de poissons, y compris la route de migration pour certaines des espèces les plus incroyables du monde y compris le poisson-chat géant du Mékong. Ainsi, le SEA estime que jusqu'à 41 espèces de poissons pourraient être en danger d'extinction. " Le projet de 3,5 milliards de dollars serait la première à être construite sur courant du Mékong en dehors de Chine et de générer 1260 mégawatts d'électricité, quelque 95 pour cent qui devrait être acheté par la Thaïlande. Mais les responsables vietnamiens et cambodgiens ont rejoint les écologistes en critiquant Xayaburi, affirmant qu'il pourrait gravement nuire aux stocks de poissons qui sont une source vitale de protéines à quelque 40 millions de personnes. Ils avertissent le barrage affectera directement plus de 200.000 personnes qui dépendent de l'écologie de la rivière ainsi que des millions de personnes vivant en aval dépendent du système fluvial. Malgré les inquiétudes, les responsables laotiens sont encore pression pour la construction. Le Vientiane basée sur la Commission du Mékong (MRC) a la responsabilité de l'approbation finale pour la construction après la détermination de l'impact environnemental et écologique du barrage. La Commission, avec les représentants du Cambodge, du Laos, la Thaïlande et le Vietnam, on s'attend à livrer ses verdict sur le projet lors d'une réunion en Novembre. Srisuwan Kuankachorn, un co-directeur avec le groupe de l'environnement, vers le rétablissement écologique et de l'Alliance régionale (TERRA), déclare la réunion Novembre pourrait conduire à un impact profond sur la politique de la région. "Nous devons prendre en compte l'impact de chaque barrage, car si un barrage est autorisé à être construit, il conduira à des évolutions de tous les autres barrages ", at-il dit. Nous devons donc en tenir compte afin que nous puissions être en mesure de réaliser que la réunion en Novembre n'est pas une réunion technique, car ce n'est pas une décision technique, c'est une décision politique qui va remodeler la politique dans cette région particulière du monde, région très petite région, mais très problématique - je dirais ". représentants du gouvernement vietnamien dire qu'il ya des inquiétudes sur l'impact sur la culture du riz région du delta. Ils ont appelé à un moratoire sur la construction jusqu'à ce que le plein impact de tous les barrages sont compris. Nguyen Huu Tien un agronome et spécialiste des zones humides de Can Tho, dans le delta du Mékong, les craintes des barrages représentent une menace majeure pour l'écologie de la région du Delta et de l'environnement . "Je pense personnellement que les menaces des barrages sont l'une des plus grandes menaces pour le delta du Mékong dans toute son histoire", at-il dit. Les pertes principales comprennent la perte de la charge sédimentaire et la perte de la pêche. " La région du delta produit la moitié la production alimentaire du Vietnam ainsi que 90 pour cent de ses exportations de riz. L'industrie de la pêche dans le delta est aussi un contributeur majeur à l'économie régionale et nationale.
Please join us at rallies for the 20th Anniversary of the 1991 Paris Peace Agreement on Cambodia:
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L’Autorité Nationale Cambodgienne du Pétrole (CNPA sous son acronyme anglais) a révélé hier dans un communiqué que des réunions secrètes entre hauts responsables cambodgiens et thaïlandais avaient eu lieu au cours des deux années précédentes en vue de régler le litige qui oppose les deux pays quant à la souveraineté d’importants gisements pétroliers offshore. Un protocole d’accord sur une gestion commune de ces ressources avait été signé en 2001 entraînant plusieurs réunions jusqu’à ce que le gouvernement thaïlandais d’Abhisit Vejjajiva y mette un terme en novembre 2009 sous la pression de ses partisans nationalistes des chemises jaunes.
Voilà pour la version officielle, toutefois, selon le CNPA, les discussions se sont ensuite poursuivies et au plus haut niveau, avec le Premier ministre Hun Sen, et le vice Premier ministre Sok An côté cambodgien, et l’alors vice Premier ministre Suthep Thaugsuban et le Ministre de la Défense Pravit Wongsuwan côté thaïlandais. Des révélations qui surviennent alors que le Premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva accuse sa remplaçante Yingluck Shinawatra d’avoir repris contact avec le gouvernement cambodgien sur la question des gisements offshore, et de protéger ainsi les intérêts au Cambodge
Voilà pour la version officielle, toutefois, selon le CNPA, les discussions se sont ensuite poursuivies et au plus haut niveau, avec le Premier ministre Hun Sen, et le vice Premier ministre Sok An côté cambodgien, et l’alors vice Premier ministre Suthep Thaugsuban et le Ministre de la Défense Pravit Wongsuwan côté thaïlandais. Des révélations qui surviennent alors que le Premier ministre sortant Abhisit Vejjajiva accuse sa remplaçante Yingluck Shinawatra d’avoir repris contact avec le gouvernement cambodgien sur la question des gisements offshore, et de protéger ainsi les intérêts au Cambodge
Détermination du sexe: une prise de sang suffirait
L’analyse des cellules fœtales circulantes dans le sang de la mère semble efficace dès la 7ème semaine de grossesse pour déterminer le sexe de l’enfant à naître.
L’analyse de sang de la mère pour déterminer le sexe du fœtus est déjà pratiquée dans certains services en France et en Europe, des tests sont également en vente sur internet mais aucune étude n’avait jusqu’à présent validé leur utilisation.
Les seules méthodes avalisées sont l’amniocentèse (qui présente des risques faibles mais non nuls d’avortement) ou à partir de la 11ème semaine l’échographie qui manque de fiabilité le sexe de l’enfant n’étant pas toujours repérable selon sa position, il peut également être masqué par le cordon ombilical. L’analyse du sang de la mère est une alternative qui permet d’identifier des fragments du chromosome Y du fœtus dès la 5ème semaine.
Dans la revue JAMA, des chercheurs du National Institutes of Health des États-Unis, présentent une revue systématique et une méta-analyse des travaux et études déjà réalisés sur le sujet afin d’examiner la validité analytique de cette pratique. Les chercheurs ont sélectionné 57 études et ont constaté que la performance globale des tests avait une sensibilité de 95,4 pour cent pour la détermination du sexe à partir de la 7ème semaine.
Ce taux atteint 99% à partir de la 20ème semaine mais il semble nettement moins efficace (75.4%) entra le 5ème et la 7ème semaine. Tout comme les tests urinaires qui apparaissent disqualifiés dans tous les cas. Les chercheurs suggèrent que cette « technologie peut être utile dans les milieux cliniques pour la détection précoce des fœtus à risque d'anomalies liées au sexe nécessitant des tests de suivi. »
J.I.
Sciences et Avenir.fr
11/08/2011
J.I.
Sciences et Avenir.fr
11/08/2011
